Une danse agréable? [Pv Sakura :3]

[Je ne suis pas très doué pour faire un long poste pour débuter un topic ;p M’enfin, ça devrait suffire. Je me reprendrais.]

Sincèrement, je ne sais pas ce que je faisais là. Enfin...Oui, j'en avais la connaissance. Je ne désirais rien d'autre que d'être à l'écart un peu, ne voulant point affronter tout de suite la pression que j'aurais dans ma famille. Je me demandais véritablement ce qui se passait dans mon crâne, car les seules pensées qui avaient la possibilité de me visiter étaient éphémères et embrouillées. Je pense qu'il faudrait m'amuser un peu... Or, je ne pouvais pas me décoller de l'arbre d'où j'étais allongé aisément, trouvant le lieu confortable, allant presqu'à luxueux. Mes jambes étaient accrochées au sol par la gravité, mon dos était élevé à cause d'une volumineuse racine qui le parcourait, qui ne me faisait qu'un doux appui et d'à mon collet jusqu'à mes cheveux, était attribués au tronc d'arbre. M'oui, comme ça, ça paraissait pire que quelconque lit, je l'admets.

En revanche, le seul fait qu'il y ait du vent qui taquinait la moindre particule dévêtue de ma peau et que l'air était remplit de douceur à mon égard... Me fit bien vite oublié ma position dont je serais l'unique qui lui rattacherait le mot; douillet. J'étais... Formidablement comblé par la forêt! Même si la voile de l'obscurité qui annonçait à venir la sorgue s'étalait dans le paysage, tapissé de végétaux et de feuilles... Je veux rire. Je ne sais pas ce qui m'en empêche, cependant, je voudrais me moquer de quelque chose, quelqu'un, ou ricaner avec un être... C'était rare que je fusse dans ce ton d'humeur... À l'habitude, je pouvais le fuir avec mes ironies sans borne que j'avais créé... Or... Je n'avais que la force de me laisser guider par la magnificence des attraits sublimes de la nature.

RÔAH! JE VOUS EN SUPPLIE! QU'UN ÉCUREUIL APPARAISSE ET ME LANÇE UNE NOIX POUR ME SORTIR DE CETTE TONITRUANTE SCÉANCE DE... Eh...Comment décrire? De tranquillité? De dépression à venir? Hum-hum. N'y pensons plus. Admirons l'avenir! ... Où il est, mon avenir? Il est consacré à des mauvaises herbes et à une absence de présence féminine? Que l'on me crève les yeux! Oh, mais non, je ne puis espérer cela! Comment pourrais-je enjôler une jolie damoiselle si jamais elle croise mon chemin? ... En attendant, il n'y a rien. Riennnn... Une bouteille vide d'alcool! Une musique sans rythme! Une vie sans liberté! Diantre me pourchasse pour me faire dévier à une route monotone, pour me punir de mes futures responsabilités que je devrai respecter à présent. Pourrait-il y avoir une courbe dévoilée, décorée de délicieuse peau blême, pour me redonner l'intérêt de rire? D'avoir encore mon regard? Réalité à déchirer le cœur, me direz-vous?

Peut-être bien... Par contre, comment une damoiselle pourrait être ici, à une heure aussi tardive, sans ressentir le désir de s'évader de ce décor effrayant? D'accord...J'ai compris que je n'aurais sans doute rien. Bon, comme je disais, je n'avais pas la capacité de m'écarter de cet emplacement, car j'y n'étais que trop à l'aise. Or, je me mentais encore. Je pouvais très bien partir, sans crainte, vers ma résidence; ce n'était pas de pouvoir qui était mon problème. C'était de vouloir. Où j'irais? J'avais le désir de m'amuser avant d'avoir des règles à suivre... Mon sourire s'étire vers ma joue, mes sourcils se haussent automatiquement. Je sentais que quelqu'un était entré dans la forêt...

Une odeur...Suave... Coquette... Le tissu de la peau d'une fille d'Ève... Je ressentais des vibrations, du sang qui se faisait pomper...Ou que je n'étais que débile... Fou! Disjoncté! Louche! ... Je lève nonchalamment un de mes genoux, forçant mes cuisses et ma jambe à se déchirer du sol. Mes mains se posent à chacun de mes côtés, appuyées légèrement sur le tronc pour me faciliter la tâche, si jamais je voulais me mettre debout. J'étais agité, énervé....Appelez cela comme vous aurez envi, tout mot qui se rattacherait à une excitation soudaine. Peut-être allais-je retrouver le sourire avec une présence...? Je l'espérais! Quoi de mieux qu'une nouvelle amie? Ah. Je suis naïf. Ça me fait rire, par contre, je ne le fais que dans ma tête. Je m'impatiente; il n'y a personne. Je ferme les yeux et ne voit que du noir.

*Peut-être qu'elle ou qu'il se cache? Hum.*

- ''Les pieds roulent, roulent, sur l'herbes tendues. Des jambes devancent, devancent, la peur de l'obscurité. Mais à qui appartient cette tête, qui n'a pas peur des risques?''

Ton doux. Rictus coincé dans la gorge.

Sakura courait encore dans la forêt. Il était tard, le soir commençait à tomber mais en ce jour d’ été, les ténèbres n’ engloutissaient pas encore la forêt, il faisait encore un jour rosé. La dernière fois qu’ elle courait pour y aller, la belle demoiselle était sur le point d’ avoir une crise. Une de ces fameuses « crises », la dernière fois, la crise était encore plus forte que les autres jours, allant à aire ressortir son « double » ou son « kao » comme l’ appelait Kyoshiro. Cette pensée fit frissonné Sakura. Elle n’ aimait pas avoir des crises, elle se sentait encore plus anormale …

Mais aujourd’ hui pourquoi était-elle là ? avait-elle une crise ? Non… mais alors pourquoi ? sakura elle même se le demandait, c’ était une sorte d’ envie qu’ elle avait. Un besoin de solitude pour penser même si elle le fait constamment. Mais aussi, une envie de tranquilité et de paisibilité. Tout le contraire d’ une de ces « crises », elle se sentait calme et la kao de son cœur se taisait pour la laissé un peu respirer. Sakura se sentait bien comme légère, elle était dans une bulle calme ou rien ne pouvait l’ atteindre, ce qui était si rare … d’ habitude, c’ est tout le contraire .

La demoiselle un peu fatiguée, reprit son souffle et commença à marcher tranquilement. Elle regardait tout ce qui l’ entourait. Les arbres ; les fleurs, le ciel et même les mauvaise herbes semblaient lui chuchoter quelques douces paroles. Sakura aimait tellement la forêt, elle se sentait comme dans son élément comme quand elle est en contacte avec un élément mère. La terre était de ses principaux pouvoirs, c’ était aussi un des plus difficiles à maîtriser pourtant, sakura y arrivait sans grand mal. Le seule élément qui n’ était pas trop en confiance avec elle était l’ esprit, Sakura n’ a jamais aimé l’ utiliser. Il permet de lire au fin fond de la pensée d’ une personne, c’ est comme si on violait son intimité.

Sakura arriva dans une petite clairière, là elle regarda les alentours. Il n’ y avait personne, marchant un peu, elle vit assez loin d’ elle, une silhouette sous un grand arbre. Sakura ne voulant pas déranger la personne, resta hors de vue. Elle se mit à cueillir de belle fleur.

* Je les offrirais à Isuzu (petite sœur de Sakura) en les posant sur le rebord de la fenêtre de sa chambre. C’ est pas grave si je ne pas la voire, je lui écrirais un petit mot*

- ''Les pieds roulent, roulent, sur l'herbes tendues. Des jambes devancent, devancent, la peur de l'obscurité. Mais à qui appartient cette tête, qui n'a pas peur des risques?'' dit une voix masculine. Cette voix provenait de la personne étendue sous le grand arbre. Sakura lacha ses fleurs, prise de curiosité. Elle marcha un peu avant de se mettre à côté d’ un arbre loin de quelques mètres de la personne.

« Vous parlez de moi ? »

C’ était raté pour un moment de solitude mais au fond, Sakura préférait cela. En peu de compagnie même si c’ était un dangereux fou évadé de prison. De tout façon, elle savait se défendre, la force ne lui manquait pas.

« Je m’ appelle Sakura Asuname et vous ? »

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