Kyoshiro Kizame[validé]

Donc voilà Sakura, j’ai fait quelques modifs et j’ai rajouté quelques pans de l’histoire.

Pour ceux qui l’ont pas encore lu, attention, gros pavé :p

Nom: Kizame
Prénom: Kyoshiro
Age: 22
Taille: 1m80
Poids: 70kg
Classe: Homme Aigle et chef du clan Kizame

Passé :
Kyo naquit un 20 avril, durant la nuit. Les premiers mots qu’il entendit furent ceux de son père :
« Tu as respiré ta première bouffée d’air, et déjà, ta vie ne t’appartient plus. Tu es un Kizame, Kyo, et tu ne vis que pour servir les Asuname. A chaque instant, tu ne dois te soucier que de leur bien être, de leur confort, de leur contentement. Assure toi qu’ils ne manque de rien, incline toi en leur présence, ne lève jamais les yeux, ne hausse jamais la voix, et obéit, quel que soit l’ordre que tu reçois. Tu es un Kizame, Kyo. Vis de ton mieux pour les Asuname, ou meurs, si cela leur convient davantage. ».
Son père était le chef d’une très grande et très vaste famille de serviteurs qui étaient au service des Asuname depuis la nuit des temps. Ils avaient toujours servi avec loyauté et dévotion, et étaient donc au courant de tous les secrets des Asuname, mais ils n’avaient jamais été particulièrement remarqués. Ils servaient bien, alors on les tolérait. Ils faisaient partis des meubles en quelque sorte.
Après lui avoir parlé, son père l’avait regardé, et l’avait posé dans son berceau. Sa mère ne le prit pas dans ses bras, car les Kizame étaient fiers et que cela ne se faisait pas.
Kyo était né affublé d’une terrible maladie respiratoire. Elle le rendait fragile, prompt à attraper froid, et les médecins lui avaient annoncé qu’il n’atteindrait pas vingt-cinq ans. Dès son plus jeune âge, les enfants prirent peur de lui, car sa maladie était sur lui comme une aura glaciale et effrayante qui évoquait la mort dans les esprits de tout ceux qui le regardaient. Ses parents en éprouvaient une vive honte… Il ne se souciait guère de ce que pouvait ressentir Kyo, mais ils s’inquiétaient de ce que pensait les Asuname. Avoir fait entrer dans leur demeure une sorte de monstre, un cadavre en devenir, était pour eux une idée insupportable.

Le premier souvenir net de Kyo remonte à ses quatre ans. Il ne s’était pas encore vraiment rendu compte de sa maladie et de sa condition de serviteur… Il était agenouillé, devant une porte coulissante, à côté de son père, de sa mère et de sa grande soeur. Kyo avait du mal à tenir en place… Que se passait-il de l’autre côté de la porte ? Pourquoi entendait-il une femme crier de douleur ? Il avait peur, il était terrifié, et il avait mal aux genoux à forcer de rester ainsi. Et à travers ses larmes naissantes, il vit soudain la porte coulisser subitement…
Un homme au visage décomposé balbutia :
« Il… Il… s’est passé… quelque chose… ».
Le père de Kyo jeta un bref regard à sa femme, qui se leva, immédiatement suivi de sa fille.
« Ne vous inquiétez pas, dit-elle. Nous allons tout vous expliquer. ».
Tandis que sa mère entrait dans la pièce et discutait à voix basse avec l’homme, le regard de Kyo resta braqué sur la femme allongée qu’il voyait là bas, allongée par terre, et sur le petit bébé qu’elle tenait dans ses bras.
« C’est une Asuname, papa ?, demanda t-il en un murmure.
- Oui, mon fils.
- Elle est belle… On dirait… un ange. ».

Son père lui jeta un regard qu’il ne remarqua pas, un regard qui était empli d’une profonde inquiétude proche de la peur. Depuis le premier jour, il avait sentit que son enfant lui causerait de graves problèmes… Mais ce jour-là, à cet instant précis, il en était désormais convaincu.
Si c’était cela, un Asuname, pensait au même moment Kyo, alors ils méritent vraiment que je leur consacre ma vie.
« Tenma, ordonna soudain la mère à sa fille. Va chercher Maître Asuname. ».
Quelques instants plus tard, une ombre passa devant Kyo, qui frissonna subitement. La silhouette s’avança lentement jusqu’au bébé…
« Non…, murmura Kyo, des larmes montant brutalement dans ses yeux.
- Quoi ?, chuchota son père. Kyo, qu’est-ce que tu as ?
- Non… Il faut l’arrêter… Il ne doit pas… Il va lui faire du mal ! ».
Kyo tremblait de tous ses membres, et son père le regardait, complètement paniqué. La silhouette du chef des Asuname n’était plus qu’à un pas.
« Je dois la protéger ! », s’exclama Kyo en se levant.
Mais son père se jeta sur lui. La main droite sur sa bouche et son bras gauche lui enserrant la taille, il l’entraîna loin du chef du clan. Arrivé dans un endroit isolé, il gifla son fils à toute volée.
« Es-tu fou ? Que comptais tu faire ?
- Il… Il allait lui faire du mal, je l’ai sentit ! ».
Nouvelle gifle.
« Tu n’as pas le droit de te mêler de leurs affaires ! Tu es un serviteur, rien de plus ! Apprends à garder ta place !
- Mais… Mais tu m’as dit que je devais leur consacrer ma vie ! Pour qu’il ne leur arrive rien… Tu m’as dit que je devais les protéger ! ».
Le père soupira.
« Du monde extérieur, oui. De la faim, de la soif, de l’ennui, oui. Mais laisse les régler leurs problèmes internes entres eux ! S’ils veulent se faire du mal, c’est leur problème, pas le nôtre. ».
Il le gifla une nouvelle fois, bien plus violemment.
« As-tu bien compris maintenant ? ».
Kyo était tombé par terre, et il pleurait, le visage rouge. Il leva les yeux vers son père et, tremblant, il lâcha :
« Non…
- Quoi ?, s’exclama son père, ivre de rage.
- Non, je ne peux pas faire ça ! C’est mon devoir de protéger les Asuname ! ».
Le père de Kyo lui donna un violent coup de poing.
« Non, tu n’oseras pas ! Tu n’oseras pas détruire tout ce que notre famille a bâti depuis tant d’années ! Je ne te laisserais pas faire ! ».
Et il corrigea son fils toute la nuit durant, finissant à la fin par obtenir sa soumission et la promesse qu’il n’interférait pas.

Kyo dut rester alité pendant un moment… Sa maladie aidant, on cru qu’il ne s’en remettrait jamais. Mais il guérit, peu à peu… Au bout d’un mois, il n’avait toujours pas récupéré, mais il était de nouveau capable de marcher, et pour les Kizame comme les Asuname, c’était la seule chose qui comptait. On le fit donc quitter son lit et reprendre rapidement son travail, qui fut doubler, pour rattraper le temps perdu.

Au début, Kyo honora la promesse qu’il avait faite à son père. Il voyait tous les jours, de loin, la jeune Sakura Asuname, et elle lui semblait aller bien, alors il ne pensait pas avoir de souci à se faire. Mais au fur et à mesure qu’il grandit, il apprit peu à peu la vérité des autres serviteurs : chaque fois que Sakura allait voir le chef de famille, il l’enfermait des heures et des heures dans une chambre noire et la torturait atrocement. Parallèlement, il découvrit l’histoire des maudits des Asuname, et la servitude de tous face au chef de famille. Il apprit que tout le monde savait ce que le Maître Asuname faisait, et que personne ne tentait de l’en empêcher.
Peu à peu, Kyo commença à s’approcher de la pièce noire (du côté extérieur, vers une fenêtre condamnée) lorsque Sakura et le Maître y était. Il entendait tout ce qui se passait… Puis, un jour, il entendit le Maître s’en aller et laisser Sakura seule, enfermée. Il tenta alors de lui parler… Elle ne répondit pas, alors il ne savait pas vraiment si elle entendait ou non, mais il continua quand même… Il lui raconta sa vie, ce qu’il faisait chaque jour, les devoirs et responsabilités de sa famille… Il lui parla de tout, sauf de sa maladie, dont il avait beaucoup trop honte. A cette époque, elle s’était vraiment développée. Il était très faible, le simple fait de marcher lui était difficile, et souvent les autres garçons, et même les filles, le frappait et le battait sans difficulté.
Kyo revint chaque jour, en secret, parlant de tout et de rien, sans jamais entendre de réponse. Il était simplement là, et il espérait que sa présence pouvait l’aider, la réconforter… Mais il finit par être découvert par le Maître Asuname. Celui-ci s’élança vers lui, prit d’une rage meurtrière.
« De quel droit te permets tu de parler à mon jouet ?, cria t-il, attirant l’attention de tout ceux qui étaient à proximité. Misérable monstre ! ».
Il ramassa une pierre et frappa Kyo de toutes ses forces, lacérant son visage d’une longue trace sanglante qui ne devait jamais disparaître. Agenouillé devant son maître, tremblant sous la douleur et la peur, le jeune garçon ne savait pas comment réagir… Mais le chef voulut frapper une seconde fois, et instinctivement Kyo arrêta le coup, saisissant son bras, faisant soudain preuve d’une force qui ne lui était pas habituelle.
« Lâche-moi !, s’écria le maître. Lâche-moi !
- Laisse-là…, dit Kyo.
- Quoi ? Qu’est-ce que tu racontes, créature immonde !
- Sakura… Laisse-là tranquille… Elle ne mérite pas ce que tu lui fais. ».
Des serviteurs accouraient en tout sens pour protéger leur maître. Kyo vit du coin de l’œil son père qui le regarda un instant avant de s’en aller d’un pas lugubre.
« Sakura ?, répliqua le chef de famille. Ce monstre ? Cette chose horrible que tout le monde déteste ? Tu ne comprends vraiment rien à rien… Il n’y a que moi qui me soucie d’elle ! Il n’y a que près de moi qu’elle se sent bien ! Ainsi, elle restera près de moi pour toujours, pour l’éternité ! Jamais je ne la laisserais s’en aller ! Et toi… Toi… Tu n’existes que pour me servir !
- Non !, s’écria Kyo, envahit par la colère pour la première fois de son existence. Plus maintenant ! ».
Tandis qu’il se relevait, sa pression sur le bras du chef Asuname se faisait plus forte.
« Tu n’es…, s’écria le chef, … qu’une ignoble engeance ! Connais-tu seulement l’origine de ta maladie ? ».
Les serviteurs étaient tout proches maintenant et ils s’apprêtaient à attraper Kyo quand le chef les arrêta d’un mot :
« Non. ».
Son regard se fit plus sombre sur Kyo.
« Tu t’intéresse à Sakura, alors ? Regarde-toi… Esclave… Pauvre… Pitoyable… Mourrant… Ignoble… Laid… Repoussant… Ecoeurant ! Et ce n’est pas tout, il y a encore bien pire ! Et quand tu l’apprendras… quand elle l’apprendra… Tu crois vraiment qu’elle pourra un jour ne serait-ce que te regarder en face sans vomir ? Et tu crois sincèrement qu’elle le voudra ? ».
Kyo frissonna. Le chef continua d’une voix douce :
« Et tu as pensé à tes parents ? A ta sœur ? ».
Une vaine lueur de colère enflamma le regard de Kyo.

« Si vous les touchez, je… !
- Tu… quoi ? Mais de toutes façons, pour quoi faire ? Tu n’as rien compris, Kyo, comme toujours… Personne ne regarde jamais les serviteurs. Personne, sauf moi. L’honneur est essentiel pour ta famille… Sauf pour toi, bien évidemment. L’honneur est presque vital, en fait, chez ta famille. Ton père t’as vu, tout à l’heure, non ? Il a vu la honte que tu as apportée sur les tiens… Que crois-tu qu’il soit en train de faire, en ce moment ? ».
Les yeux de Kyo s’écarquillèrent devant l’énormité de son acte et les conséquences qu’il ne voyait que maintenant.
« Je n’ai besoin de rien faire à ta famille… Car le seul remède au déshonneur est la mort. Et ton père le sait. Tout comme ta mère. Et ta sœur. ».
La main de Kyo glissa lentement du bras de Maître Asuname, et une larme tomba de son visage jusqu’au sol. La bouche du chef vint frôler son oreille et ses mots glissèrent jusqu’à lui comme des caresses glaciales :
« Allez, Kyo… mon petit monstre… Plus personne ne veut de toi ici. Vas t-en. ».
Et sans un mot, sans un bruit, Kyo se retourna et couru, de toutes ses forces, sous le rire moqueur du Maître Asuname…

Il erra toute la nuit durant, et au petit matin, il vit une petite fille qui traversait la rue. Un camion fonçait vers elle… Kyo s’élança, l’esprit vide. Il attrapa la jeune fille dans ses bras, et resta figé devant l’énorme véhicule qui fonçait vers eux… Il y eut un grand noir… Puis il se retrouva soudain volant dans le ciel, deux immenses ailes de plumes blanches battant puissamment l'air dans son dos.
Sa maladie ne le gênait plus, et il se sentait emplit d'une force inimaginable.... Il regarda la jeune fille. C'était la première fois qu'il serrait quelqu'un dans ses bras... La première fois qu'il était témoin de ce que tout le monde appellerait autour de lui 'malédiction' mais qu'il ne verrait jamais ainsi... La première fois, en fait, qu'il était vraiment heureux.
Il reposa délicatement la fillette sur le sol… Elle le regarda avec de grands yeux :
« Vous… Vous êtes... un ange ? ».
La question de la jeune fille perça Kyo en plein cœur. Si les choses s'étaient passées différemment... Si quelqu'un d'autre l'avait vu, et lui avait dit : "Tu es un monstre !", tout aurait été différent.
Il regarda ses propres ailes avec dans le regard une lueur de respect mêlée de crainte. Elle ne l'avait pas pris pour un monstre... Elle avait dit... Un ange… ?
« Fais attention la prochaine fois… », dit-il simplement en s’éloignant.
Il s’arrêta un peu plus loin, à un tournant. Un ange… Oui… Un ange. C’est ça. C’est ça !
Un vent s'éleva soudain autour de lui, faisant trembler les voitures autour de lui, déviant les gens de leur chemin... Brusquement, des vitres se brisèrent tout autour de lui.
Je suis un ange... Et les Asuname sont des démons.
Quelque chose s’était cassé en lui... Et en même temps, s'était réparé, mais d'une nouvelle façon. D'une façon tordue, et déformée.

Il revint dans la demeure des Asuname le lendemain, le visage impassible et le regard froid, ne se laissant voir que des Kizame. Il était désormais leur chef, et il leur ordonna durement de le suivre hors de ces lieux, pour s’installer loin au nord, au-delà de l’influence néfaste des Asuname. Quelques uns tentèrent de le contredire, de désobéir, mais il les réprimanda violemment.
« Honneur et discipline !, répétait-il sans cesse. Si nous voulons vaincre…
- Vaincre qui ? », demandait-il tous, mais il n’était pas encore prêt à leur expliquer.
Il fut le dernier à passer le portail de la demeure des Asuname, et il jeta un dernier regard sur les bâtiments.
Un jour…, pensa t-il. Quand le temps sera venu… Je reviendrais. Et je détruirais Maître Asuname. Je le détruirais, lui et tout ceux qui l’ont soutenu. Je détruirais sa famille, ses amis… Je détruirais les serviteurs qui l’ont aidé… Je détruirais même les étrangers qui ont simplement croisé sa route sans rien comprendre de ce qu’était sa vraie nature… Je détruirai les Asuname jusqu’au dernier… Et Sakura sera enfin libre.
Oui... Quand j'en trouverais la force... Et le courage... Sakura sera enfin libre.

Le lendemain, les Asuname découvrirent que tous les Kizame avaient disparu, ainsi que les corps du père, de la mère et de la sœur. On en parla beaucoup pendant une semaine… La semaine suivante, on en parla un peu… Au bout de quinze jours, on en parlait déjà plus. Et au bout de trois ans, plus personne ne savait qu’il avait un jour existé une famille de serviteurs nommée Kizame.
Parfois, lorsque le Maître Asuname est seul, regardant le ciel, on peut l’entendre murmurer ce nom tandis qu’un sourire se dessine sur son visage. Il attend son retour avec impatience :
« Kyo… Mon petit monstre… ».

Description physique: Kyo a de longs cheveux blonds très clairs et de grands yeux bleus – très clairs également, et limpide -. Une large cicatrice traverse son visage du haut de son sourcil droit au bas de sa joue gauche. Kyo est grand, très fin, pas très musclé. Il peut même sembler fragile. Il est presque toujours vêtu de vêtements très simples et très sombres.

Description psychologique: Kyo est désormais quelqu’un de très froid pouvant brusquement se mettre dans des colères destructrices. Il est extrêmement exigeant avec les Kizame et les soumet à un code de l’honneur infiniment plus strict que celui que la famille suivait auparavant. Notamment :
- Il est interdit de fréquenter des Asuname ou des proches des Asuname.
- Il est interdit d’entamer une relation personnelle (même un simple rendez vous) avec quelqu’un (même du clan Kizame) sans avoir l’autorisation de Kyo. De même, il est interdit d’entamer un tournant majeur de sa vie (choix du métier, emménagement, voyage, etc…) sans son accord.
- Il faut pratiquer tous les jours des exercices très éprouvants et consacrer la majeure partie de son temps à des travaux pour le clan, en fonction de ses connaissances (tâches ménagères, médecine, entraînement des autres, etc…).
Il punit très violemment ceux qui désobéissent et il maintient l’ordre d’une main de fer. Il est encore plus exigeant avec les autres maudits, desquels il attend une fidélité sans faille. Kyo est également moqueur, amer, et parfois cruel.


Divers:

Comment avez vous connu le forum ? J’ai vu l’adresse de ton site sur le forum de la pension Kosuke… J’y joue le personnage nommé Kaji Ilyn.

Comment trouvez-vous la déco du forum ? Très sympa dans l’ensemble.

Aimez-vous bien le forum ? Bah je sais pas encore… Mais vu que le thème est emprunté à Fruits Basket, j’espère bien qu’il me plaira ^^


Voilà, voilà ! Merci de m'avoir lu jusqu'au bout, ou au moins d'avoir essayé :p

Bienvenue et validé!!!!!!!!!!!!!!!!
Comme je l' est déjà dit, ta fiche est superbe!!!!!!!!!!!!!!!!
Amuse toi bien!!!!

Merci beaucoup

quelle jolie fiche^^ bienvenue^^

Bienvenue super fiche Ohh la la on a un écrivain dans le Forum

Pas encore, mais j'y travaille :p

Merci

c'est vrai,c'est une présentation super...t'es doué!Bienvenue!

Bienvenue!!! C'est vrai que ta fiche est super longue, et très bien écrite. Mais c'est quoi cette idée de regles pour les Kizame , tu veux nous tuer??? Je sens que mon perso va pas t'apprécier XD

T'as pas idée ! *sourire sadique* xD

A bientôt sur le fofo ^^

Je sens que ça va très mal se passer

Mais non, mais non... Je vais te remettre dans le droit chemin, et tout ira bien... Gniark Gniark Gniark :p

Le droit chemin, c'est pas celui de l'hopital j'espère?

Oh, grand dieu, non ! Bien sûr que non !

L'hôpital n'est qu'une étape... xD

Qu'une étape?
Et dire que ma petite Mira a les os très fragiles... je veux pas qu'elle finisse en fauteuil roulant moi!!! La pauvre, je crains le pire.

Cesse de te plaindre Kizame !

Dans la terrible qui nous attends, il n'y a pas de place pour les !

Si tu dois souffrir pour cela, si tu dois finir en chaise roulante, ou, pire, rester pendant plusieurs mois allongés sur un lit d'hôpital pendant qu'on te passera du Julio Iglésias en boucle, c'est un risque que je suis pret à prendre !


Oh la la... Je suis trop à fond dedans... xD

Mais ça va pas???!!! Du Julio Iglesias??!! Je préfère encore le guerre et le fauteuil roulant XD

Tu auras peut-être les trois ! Non mais !

Oh là là! J'aurai dû faire un perso d'une autre famille, il aurait eut des chances de survie.

Pas si tu l'avais fait chez les Asuname en tout cas !

T'es sur? Je sais même pas qui c'est leur chef de famille lol.

Je crois pas que quelqu'un le joue encore, mais c'est déjà mon pire ennemi :p

Et oui, sûr, parceque je vais détruire tous les Asuname un par un !